Eole rosé 2023

Les Echos – 15/06/23 : Conçu sur la fraîcheur avec une vinification à froid et un élevage en cuve, ce rosé couleur pivoine, offre un nez de grenadine acidulé. La bouche est gourmande avec des éclats de pamplemousse qui donnent une jolie dynamique au vin. Souple et frais, à l’image de son terroir au cœur des Alpilles.

L’auvergnat de Paris – 22 juin 2023 : Ce rosé aux notes gourmandes et au teint pétale de rose chante la Provence. Né d'un terroir aride, Éole rosé est pensé dans la tradition des rosés de Provence. Les vignes plantées sur un sol sablo-calcaire à forte charge caillouteuse, aiment les étés chauds et secs et le balayage du mistral qui leur permettent de s'épanouir dans de parfaites conditions sanitaires. Vendangés manuellement, totalement égrappés, les raisins sont vinifiés à basse température. L'élevage en cuve préserve toute la fraîcheur et la pure expression de leur fruit. Ce vin, au nez fringant et fruité, exprime parfaitement la palette de fruits rouges et d'agrumes. Sa bouche juteuse, vive, structurée, pure et dynamique donne de l'éclat aux fruits. Tout en fraîcheur et en fruits, ce rosé est idéal lors des grandes tablées entre amis réunis autour d'apéritifs gourmands, de grillades, de plats aromatisés aux herbes de Provence et à l'huile d'olive et de mets exotiques.

The Good Life – Les coups de cœur de la rédaction – juillet 2023 : Les Alpilles veillent avec un regard tout en empathie sur ces vignes cultivées en agriculture biologique depuis 1996. II ne s'agit donc pas d'un simple argument marketing. Cette cuvée est née avec la volonté d'apporter de la gaieté quand le soleil nous accompagne. Elle dégage des notes de fruits rouges et des agrumes comme le pamplemousse. En bouche, le vin a de l’énergie, avec des épices, de la salinité. II est une expression vraie du fruit dans sa parfaite maturité

Femme Actuelle – 29/06/23 : Un rosé de Provence et des Alpilles, d'une belle couleur chatoyante, très fruité en bouche, avec une belle structure, de la finesse et de la fraîcheur. A convoquer pour des grillades ou un déjeuner sur l'herbe.

Rustica – 28/07/23 : Ce rosé de gastronomie certifié AB dévoile une belle minéralité portée par des arômes d’agrumes et de pêches de vignes.

Cuisine Actuelle – août 2023 : Fruité. Voilà un bel exemple de rosé de macération réussi, un oxymore en bouteille, léger et profond, désaltérant et expressif, avec la fougue du mistral et les parfums des Alpilles. II est le rosé des grandes tablées amicales.

Le Figaro Magazine (supplément méditerranée) – 07/07/23 : Pas moins de six cépages constituent l’ossature de ce magnifique rosé. D’où cette belle singularité aromatique autour d’arômes de fleurs blanches et de mara des bois, de groseille et de griotte, mais aussi de subtiles notes d’abricot. Un vin vigoureux et charnu, qui tiendra tête à des mets assez puissants, tels une langouste au beurre d’agrumes, un homard grillé aux herbes ou un curry de lotte aux épices

VertdeVin – Magazine 2023 : Le vin a une très jolie couleur rose corail, limpide et brillante. Le nez est fruité et frais. On a des notes de petits fruits rouges juteux et croquants comme la fraise et la groseille. On perçoit également une fine touche de crème. La bouche est fraiche et acidulée avec une trame fruitée. On a des notes de petits fruits rouges croquants et juteux. L'ensemble reste discret jusque dans une finale avec une pointe d'umami et de fraicheur. 15+ / 89-90

GretaGarbure.Com – 12/06/23 : Quand je suis en Provence et plus particulièrement en Provence du Sud comme je vous l'ai d'ailleurs déjà dit souventes fois j'aime les rosés qui chantent leur spécificité régionale plutôt que les rosés style Riviéra qui la standardisent, l'édulcorent ou la caricaturent façon « rosé piscine ». À plus forte raison quand j'invite un rosé à ma table de Parisienne et que c'est la Provence qui doit venir à moi, soufflée depuis les Alpilles par le bien nommé dieu du vent : Éole. La Provence des Provençaux, pas celle du Festival de Cannes et des yachts.
Je vous ai déjà conté quelques vins du domaine d'Éole par le passé et je ne peux que réitérer mes propos : j'adore la jolie pureté de ce domaine, régalant dans la bouteille et subtil jusque dans la sobriété de l'étiquette, cette jeune femme qui, les cheveux dans le vent, mord une grappe à pleines dents, tout au plaisir de sa gourmandise.
Le domaine d'Éole en quelques mots :
Sis au coeur des Alpilles, engagé en agriculture biologique depuis 1996, le domaine d'Éole regarde presque pousser ses raisins tant il a à cœur de faire le moins d'interventions possibles pour que le vin ait l'âme de son terroir. Les vignes sont plantées dans un terroir aride, sur un sol sable-calcaire à forte charge caillouteuse et elles aiment leurs étés chauds et secs et le balayage du Mistral qui leur permettent de s'épanouir dans de parfaites conditions sanitaires.
Les raisins sont vendangés à la main, égrappés totalement. La vinification se fait en douceur, à basse température. L'élevage en cuve préserve toute la fraîcheur et la pure expression de leur fruit.
Fidèle aux cépages méditerranéens, cet Éole rosé se compose de grenache noir (55%), de cinsault (30%) et d'un peu de syrah, de counoise, de rolle et de carignan. Car regarder pousser ses vignes ne signifie pas être paresseux et le savoir-faire est bien là. D'où un Éole rosé à la fois complexe et d'une remarquable fraîcheur.
Il titre 12,5°.
Ma dégustation : Sa robe est couleur pétale de rose, une robe légère sans fioritures, celle d'une rose cueillie le matin à peine éclose, fraîche et presqu'encore emperlée de rosée, ce qui la rend lumineuse.
Son nez est chatoyant, évoquant le petit panier de petits fruits rouges qu'on rapporte du jardin fraîchement cueillis et qui ont encore sur eux la caresse du soleil, mais aussi quelques agrumes, citron, pamplemousse rose et même orange avec, à peine sensible, une pointe d'albédo (ziste). Le tout donne un mélange subtil, comme il en court parfois dans les campagnes, dans les jardins d'herbes et les haies pourvoyeuses de baies. Autant en emporte le vent !
En bouche, le jus est à l'unisson de cette symphonie et son acidulé séduit immédiatement. C'est du pur fruit bien structuré avec une jolie minéralité en finale qui tempère une vivacité au demeurant très plaisante. C'est un vin élégant, tout en fraîcheur, plus subtil qu'il n'y paraît au premier abord.
Un rosé d'été qui joue parfaitement sa partition de vin-plaisir.
À boire pour le plaisir de le boire mais aussi pour accompagner une cuisine estivale pas forcément provençale, en tout cas pas selon les clichés. Pour accompagner des grillades, oui, mais pas que. Visez plus de délicatesse : agneau des Alpilles, petits farcis à la ratatouille, fleurs de courgettes farcies, poupeton d'aubergines.
Ou encore à déguster avec des petits rougets aux anchois, une pissaladière, de la brandade de morue, un aïoli traditionnel, du poulpe à la plancha, des seiches farcies, du risotto à l'encre de seiche, une bourride sétoise et même une bouillabaisse. Mais si, mais si ! La jeune fille est suffisamment accorte pour convenir à tous ces types de cavaliers.
En résumé, un vin méditerranéen qui a de la personnalité, du tempérament, plaisant à boire et révélateur d'émotions. Moi, j'appelle ça « le rosé de l'été » !